Plongée au coeur des choses, entre les trames de nos existences mêlant drame historique et collapses provisionnel.. Ou les Désespoir mènent aux utopies et ou chaque pas avancée traine son lot de poussière et de cendre. 

L’instant Royale est celui qui mènent à être, plutôt que celui qui veux, l’un n’empêche pas l’autre, mais la réalité est que nous n’avons que ce qui existe dans le momentanée car à toujours regarder ce qui a été et ce qui sera nous nous perdons dans l’illusions des temps, coincé entre 2 possibilités dans des trames de potentialités et d’interprétation. La raison et le mental sont trop souvent hyperactif pour ce genre de voyage et notre coeur lui se laisse progressivement abandonnée et isolée en restant ici sans attention et présence.

Alors qu’en réalité c’est là que tou se passe, tout se rejoint et se mouvoir dans l’éternité de cette présence. Focus et attention sur ce qui se déroule tout autour de nous et au coeur de notre centre. Plonger dans le royaume de l’éternité nécessite de faire des sacrifices, s’abandonner à une mort conceptuel celle de laisser derrières nous tout nos espoirs et regret. Toutes nos croyances et nos souhaits ainsi que nos désirs et nos souvenirs.

Une fois lâché tout ce qui nous lient par un fil au différents éléments de nos personnalité, toujours actif par des boucle continuelle de pensée en cheminement constant.

Là soudain, un espace peut naitre. Celui de la présence dans l’instance. Joyau des secrets, Gardiens des mystères, Portes du coeur et Entrée dans l’indéfinissable.

Ici tout est, sans forme, sans textures, sans couleurs, sans jugement et concept.

Les éléments interagissent participent à un vaste réseau entièrement lié ou tout est en perpétuel transmutations. Et dès lors que nos pensées conçoivent et tente de formaliser, tout s’en vas.

Tel un parachutiste qui se lance dans le vide et lâche-prise sur toute peur existante de la mort et des idées de crash. Lancée en pleine vitesse dans l’absolue descente, il se laisse vertigineusement aller dans une force de gravité qui le pousse vers la mort et pourtant. Rempli de sensation puissante et enivrante, son coeur balance et son corps émet des tsunamis d’adrénaline.

L’esprit vole tout comme son véhicule en pleine cascade effervescente. Sentiment d’infini et d’Unité.

Mais dès lors que la pensée fixe les choses, c’est l’élastique qui le reprend brutalement, tel le parachute qui s’ouvre et qui le retire de ce vortex d’infusion divine. Projeter en arrière avec force, il ne peut que s’arrêter totalement et tenter de maitriser progressivement sa descente pour un retour sur Terre.

Bien sur la pensée , le mental peut faire naître nombre de sentiment qui transforme cette maitrise de la descente en agréable voyage, mais au fond l’esprit se souvient et commence déjà à faire naitre une certaine mélancolie euphorique de ce qu’était ce moment ultime.

L’attention à notre présence est.

Eliot Cohen

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *